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Larencontre, qui a duré un peu plus de deux heures, ainsi que d'éventuels investissements qataris en Afrique de l'Ouest. Depuis son élection, le 12 janvier, Umaro Sissoco Embalo a multiplié les déplacements internationaux. Après une première tournée africaine qui l'a notamment amené à Dakar, Brazzaville et N'Djamena, le nouveau président bissau-guinéen est
Ouvertureofficielle du stand du Projet AWA à la foire du MASA avec la visite du Premier Ministre Ivoirien, dans le cadre de la rencontre Afrique de l’Ouest du Programme ACP-UE Culture : soutien aux secteurs de la culture en marge des Rencontres professionnelles du MASA 2022. Le stand reste ouvert aux visiteurs du 7 au 12 mars 2022 de 9h à 20h. Bon Masa à nos lauréats.
Mali le médiateur de la CEDEAO Goodluck Jonathan rencontre les partis politiques. #Mali : Goodluck Jonathan, médiateur de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest pour le Mali, a rencontré, jeudi 21 juillet 2022, la classe politique malienne au Centre de formation des collectivités territoriales.
RencontreAfrique. Les plus belles femmes metisses et africaines sont sur 97tibo.com. Faites des rencontres en Afrique quelque soit le pays : Cameroun - Maroc - Sénégal - Tunisie. De nouveaux membres s'inscrivent tous les jours pour faire des rencontres et
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Recherche Un Site De Rencontre Totalement Gratuit. De nombreux pays en Afrique souffrent cruellement du manque d’eau potable et d’assainissement. Malgré les progrès réalisés, près de 40% de personnes n’ont pas accès à l’eau potable et près de 70% ne bénéficient pas de systèmes d’assainissement.[1] . Cette situation est exacerbée en Afrique de l’ouest et centrale, notamment dans des pays confrontés à de graves crises politiques et sécuritaires. Ainsi, au Mali plus de 1,4 millions de personnes ont besoin d’une assistance d’urgence en eau, hygiène et assainissement, et 1,9 millions de personnes au Burkina Faso et au Cameroun [2] . Dans des pays connaissant des déplacements massifs, comme au Burkina Faso qui compte près de 800 000 déplacés internes, les conditions de l’accès à l’eau se détériorent et les infrastructures sont sous pression dans les zones d’accueil. Alors que le Sénégal se prépare à accueillir le Forum Mondial de l’eau en 2021 et que nous parlons d’accélérer le droit à l’eau potable et à l’assainissement, la pandémie du coronavirus fait craindre un relâchement des efforts. En effet, la pandémie du Covid-19 cause une crise sanitaire et économique mondiale qui risque de creuser davantage les inégalités en matière d’accès à l’eau et à l’assainissement en Afrique de l’ouest et centrale. Le coronavirus avance déjà à grand pas dans le continent avec 12 360 cas confirmés et 586 décès à la date du 19 avril et dans la région Afrique de l’ouest et centrale, avec 5820 cas confirmés et 157 décès à la même date. Pour se protéger contre ce virus, l’OMS recommande l’adoption de gestes barrières tels que le lavage des mains régulier et la distanciation sociale. Ces recommandations mettent encore une fois en évidence le rôle crucial de l’eau et de l’hygiène dans la prévention des maladies. Comment se laver régulièrement les mains avec un accès à une ressource eau très limitée ? Comment pratiquer la distanciation sociale dans des contextes ouest-africains de grande promiscuité sociale ? Comment maintenir un approvisionnement en savon, chlore et autres produits et matériels d’accès à l’Eau, l’Assainissement et à l’Hygiène EAH quand la fermeture des frontières bouleverse les chaines d’approvisionnement mondial ? C’est autant d’enjeux auxquels les gouvernements, les populations, les acteurs humanitaires sont confrontés. Il y a nécessité d’une mobilisation collective et d’une allocation de ressources supplémentaires, en particulier dans les contextes de crises humanitaires. Les acteurs du secteur EAH doivent ainsi faire face à plusieurs défis, celui de répondre à la pandémie par les actions de distribution de produits d’hygiène de base, de sensibilisation aux gestes barrières afin d’éviter la propagation de l’épidémie. Ils doivent se protéger afin de ne pas constituer un vecteur de transmission de par leurs actions de terrain. Ils doivent également continuer à mener les programmes d’assistance en cours pour les populations vulnérables dont l’accès à l’eau et à l’assainissement représente un enjeu majeur tout en réadaptant leurs programmes avec des procédures opérationnelles revisitées. C’est dans ce contexte, que SOLIDARITÉS INTERNATIONAL s’engage à être au plus près des populations vulnérables en renforçant les actions de prévention de l’infection Covid-19 sur tous nos terrains d’intervention et en développant des actions spécifiques de lutte et contrôle de l’épidémie. En outre, SI travaille de concert avec ses partenaires de santé afin d’endiguer la progression du virus, en accompagnant les activités de prévention et contrôle des infections dans les centres de santé. L’accès à l’eau, à l’hygiène et à l’assainissement reste plus que jamais incontournable pendant cette phase pandémique mais également après la pandémie. Recommandations 1. Faire de l’accès aux services EAH, une priorité dans la réponse au Covid-19. Les interventions en santé sont essentielles pour la prise en charge et la réduction de la mortalité des personnes affectées. Cependant, l’accès à l’eau et à l’hygiène est primordial à la réduction de la morbidité et au contrôle de l’épidémie. La réponse à la crise ne s’aurait être qu’une réponse entièrement médicale. Il est important de porter une attention plus grande à l’accès à l’eau et à l’hygiène dont les moyens ne sont pas suffisants pour répondre aux besoins. Il faut notamment renforcer l’appui et le support aux structures de santé/établissement de soins pour répondre aux besoins EAH et améliorer les activités de prévention et contrôle des infections où l’eau joue un rôle de premier plan renforcer la diffusion des messages clés + gestes barrières et faciliter leur application par un meilleur accès à l’eau et aux produits d’hygiène de base renforcer l’accès de tous à des services d’eau potable et d’assainissement gérés en toute sécurité renforcer toutes les activités d’engagement communautaire et de réduction des risques en s’appuyant sur la force des communautés 2. Maintenir le cap des engagements de l’Objectif de Développement Durable 6, notamment dans les zones impactées par le conflit, est primordial pour garantir un meilleur accès à l’eau et à l’assainissement des populations les plus démunies. Dans la perspective du forum mondial de l’eau Dakar 2021, l’heure est au passage à l’acte et à la réalisation des actions pour que le droit à l’eau et à l’assainissement soit une réalité. Les gouvernements des pays d’Afrique de l’ouest et centrale, les bailleurs, les nations unies ainsi que les ONG doivent tous se mobiliser afin de garantir un meilleur accès des services d’eau et d’assainissement. L’eau et l’assainissement sont vitaux pour la vie, la survie et la santé et ne doivent pas être relégués au second plan. Nous devons garantir la réalisation et la réhabilitation des infrastructures d’eau et d’assainissement pour améliorer l’accès des populations démunies et en particulier dans les zones affectées par les crises. garantir la performance et la gestion durable des services d’eau potable et d’assainissement garantir un suivi adéquat et une meilleure qualité de services fournis aux populations [1] WHO & UNICEF, Joint Monitoring Programme, Progress on household drinking water, sanitation and hygiene, 2000-2017, 2019. [2] OCHA, Humanitarian response plans of Burkina Faso, Niger and Cameroun, 2020. SOUTENEZ NOS ACTIONS EN AFRIQUE, FAITES UN DON > JE FAIS UN DON
L’Université protestante de l’Afrique de l’ouest est un des fleurons de l’enseignement, créé par l’Église protestante méthodiste du Bénin. L’histoire de l’UPAO commence dans les années 20, à Porto Novo par la création d’une école catéchétique. C’est en 1998 que cet institut prend le nom d’Université protestante de l’Afrique de l’ouest. En 2015, c’est une convention qui est signée avec l’Université d’Abomey Calavi. Aujourd’hui, l’UPAO propose sept filières d’enseignement répartis en trois établissements. L’Institut des sciences de gestion et du management, la Faculté de théologie et des sciences religieuses, et l’Institut des sciences de l’éducation et de la formation. Le cadre verdoyant, les bâtiments des années 20 classés patrimoine mondial de l’Unesco – créent un lieu paisible au cœur de […] A la rencontre des Eglises de la Cevaa », une série proposée par la radio FM Plus à Montpellier.
L’organisation “solidarité laïque Afrique de l’Ouest“ a tenu une conférence de presse dans la matinée de ce jeudi 5 mars 2020 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les Hommes de médias entre dans le cadre de lancement du programme “Compétences pour demain CPD“ . Il s’agit de soutenir les initiatives des jeunes en faveur des changements socioéconomiques des zones périphériques des grandes villes d’Afrique de l’Ouest. Du 5 au 10 mars 2020, se tient à Ouagadougou et à Koubri, le lancement du programme “compétences pour demain“. Sous le thème soutenons les initiatives des jeunes pour la transformation socioéconomique », ce programme a l’ambition de proposer des solutions nouvelles à la problématique de l’autonomisation des jeunes. Il le programme s’appuie sur deux axes à savoir, l’employabilité et l’engagement citoyen. Six 06, sont les pays où se déroulera le programme. Il s’agit notamment du Burkina Faso, du Bénin, de la Côte d’Ivoire, la Guinée Conakry, le Mali et le Sénégal. Le monde est confronté aux crises, selon Alain Canonne, délégué général de “solidarité laïque“. Pour sa part, les crises que connait l’Afrique sont celle environnementale, celle climatologique et surtout celle de l’emploi des jeunes, qui engendre une crise de l’avenir de la jeunesse. C’est pour trouver des solutions à cette situation, que ce programme a été initié. C’est un programme spécifique pour essayer de travailler sur les enjeux de la citoyenneté et de l’emploi des jeunes, parce que ces deux axes peuvent considérer l’avenir d’un jeune. C’est-à -dire son avenir au sein de la communauté et sur la question de l’employabilité », a laissé entendre le délégué général de l’organisation. 60% des jeunes formés sont sans emploi. Cependant, si on écoute les jeunes, selon Alain Canonne, si on discute avec eux, on a une idée relative à ce qu’ils pourraient faire car “notre responsabilité c’est être innovant“ , a-t-il soutenu. Le programme se fonde à un mode opératoire qui se base sur une méthodologie. C’est “faire se rencontrer dans un même espace, une variété d’expertises différentes pour faire germer les solutions innovantes afin de répondre aux besoins et aux aspirations des jeunes” . Aussi, les accompagner dans un processus de transformation de la personne et du territoire et enfin, exploiter les ressources et les avantages de la démarche en réseau au sein d’un écosystème local et transnational d’acteurs complémentaires. Alors, il y aura des séries d’ateliers et de formations dans différents domaines comme l’audiovisuelle, l’agroécologie, l’agriculture, l’apiculture. Selon Alain Canonne, l’Afrique a des leçons à donner au monde. Donc, elle n’a pas besoin de chercher des modèles ailleurs. Nous nous inscrivons complètement dans cette situation de territorialité en nous basant sur ce que les jeunes représentent, pour être aptes à répondre au développement de leur territoire, et aussi à leur besoin en terme de création d’emploi et d’entrepreneuriat collectif », a expliqué le directeur de l’antenne régionale, Pierre Sawadogo. C’est-à -dire que cette formation est une contribution importante pour l’autonomisation et l’émergence des jeunes dans les pays concernés par ce programme.
En Afrique de l’Ouest, le taux d’accès à l’électricité est de 52 % en moyenne, avec des coupures d’électricité pouvant atteindre 80 heures par mois. À 0,25 dollar le kilowattheure, l’électricité demeure cependant très chère dans la région et coûte deux fois plus que le prix moyen dans le demande intérieure dans les pays d’Afrique de l’Ouest est souvent trop faible pour attirer des investissements dans de grands projets, capables de réaliser des économies d’échelle. De ce fait, ces pays dépendent généralement de petites centrales au fioul très coûteuses. Et, en l’absence de planification, ils sont contraints de louer des centrales électriques, ce qui augmente encore les est donc essentiel que les pays voisins collaborent entre eux pour améliorer l’accès à une électricité fiable en Afrique de l’Ouest. C’est l’objectif du système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain EEEOA. Il rassemble 14 pays – Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone et Togo – et 27 entreprises nationales d’électricité qui œuvrent de concert à la création d’un marché régional unifié de l’ pour échangerAujourd’hui, l’EEEOA assure l’interconnexion physique nécessaire aux échanges d’électricité entre les pays. Les échanges entre les dix pays déjà interconnectés représentent près de 7 % des échanges d’électricité dans la région. La ligne de transport la plus importante devrait être opérationnelle, d’ici 2020 ce qui permettra à l’électricité de traverser l’Afrique de l’Ouest, depuis les pays disposant de ressources énergétiques bon marché, propres et abondantes vers les pays qui en sont Banque mondiale estime que l’établissement d’un marché régional unifié de l’énergie permettrait d’économiser entre cinq à huit milliards de dollars par an grâce aux moindres coûts d’exploitation qui, à leur tour, réduiront les coûts de tirant un meilleur parti des ressources énergétiques bon marché dont dispose la région, les échanges d’énergie amélioreront la fiabilité globale de l’approvisionnement et rendront l’électricité plus abordable pour tous les pays. Autre avantage cela favorisera une production électrique plus écologique puisque les anciennes centrales à fioul seront remplacées par des sources d’énergie plus propres comme le gaz naturel, l’énergie solaire et l’hydroélectricité. Le système électrique de la région sera en outre plus fiable et pourra plus facilement faire face à des pénuries accidentelles. Enfin, le marché unifié créé par ces 14 pays attirera plus facilement les investissements du secteur privé dans la production d’énergie. Il s’agit d’une occasion historique pour l’Afrique de l’Ouest. Mettre sur pied un système d’échanges solide permettra de réduire considérablement le coût moyen de la production énergétique dans la région et d’améliorer l’accès à une électricité plus propre et plus fiable », souligne Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique. La Banque mondiale partage entièrement la vision ouest-africaine d’un secteur de l’énergie moderne, capable de satisfaire les besoins de populations et d’appuyer le développement économique. Et nous sommes déterminés à accompagner nos clients dans la mise en place de ce marché régional. »Depuis 2005 la Banque mondiale soutient l’action de l’EEEOA, aux côtés de plusieurs partenaires du développement, pour améliorer l’interconnexion physique et l’intégration des réseaux électriques nationaux. La Banque mondiale appuie depuis longtemps le secteur de l’énergie en Afrique de l’Ouest. À ce jour, elle a alloué 750 millions de dollars, par l’intermédiaire de l’Association internationale de développement IDA, aux travaux de construction des infrastructures d’interconnexions primaires. 4 000 kilomètres de lignes de transport sont actuellement en cours de construction et leur mise en service est prévue pour le début des années défis techniques et commerciauxLa complexité du marché de l’EEEOA soulève de nouvelles difficultés politiques et techniques. En effet, pour qu’un marché régional de l’énergie fonctionne, il faut non seulement des infrastructures adéquates, mais aussi une réelle collaboration entre dirigeants politiques, autorités de régulation et entreprises publiques d’électricité, et ce au niveau national et régional. Cela exige aussi que les différents pays évoluent au même rythme dans les domaines politique, réglementaire et institutionnel. À cet égard, il est encore nécessaire de travailler à la mise sur pied d’organismes et d’accords commerciaux exemple, les paiements entre partenaires commerciaux de la région sont irréguliers. En 2016, les arriérés ont atteint un tel niveau que l’EEEOA a constitué un groupe de travail sur la sécurisation des paiements des échanges d’énergie transfrontaliers. Afin de garantir la pleine réalisation de l’unification régionale du marché de l’énergie, ce groupe de travail a recommandé de mettre en œuvre différentes mesures susceptibles de renforcer la confiance dans le marché régional de l’électricité, en particulier l’amélioration de la solvabilité du secteur, la sécurisation des contrats, la fourniture de garanties et l’implication des institutions ce contexte, la Banque mondiale entend financer en priorité des projets destinés à renforcer la performance des entreprises publiques d’électricité, gage de meilleurs services et du développement des échanges d’énergie électrique en Afrique de l’Ouest.
Les évêques d’Afrique de l’Ouest sont en assemblée plénière du 2 au 9 mai prochain à Abuja, la capitale du Nigeria. Au cours de cette session ordinaire, l’épiscopat ouest africain abordera les questions de fraternité humaine et de paix dans la région. Françoise Niamien – Cité du Vatican La 4ème assemblée plénière des Conférences épiscopales réunies de l’Afrique de l’Ouest, nouvelle appellation depuis 2020, NDLR Cerao-Recowa, s’ouvre ce mardi 2 mai à Abuja, la capitale nigériane, sur le thème Fratelli tutti chemin de fraternité et de paix durable en Afrique de l’Ouest». Le père Aka, secrétaire général de la Cerao-Recowa, dans une interview accordée à Vatican News explique qu’à travers ce thème, les évêques de l’Afrique de l’ouest se disent qu’ils ont l’obligation morale et spirituelle d’agir de telle sorte que les générations présentes et futures vivent et héritent d’une Afrique de l’Ouest pacifiée et habitable». Les évêques de l’Église famille de Dieu qui est en Afrique de l’Ouest entendent à partir de l’encyclique Fratelli tutti du Pape François qui se situe dans la même dynamique de pensée que Laudato Si’ prôner la culture de la rencontre, et la réconciliation de tous les acteurs de la maison commune». Ils soutiennent que l’attention accordé à la maison commune est la voie indiquée pour une paix durable en Afrique de l’Ouest», précise le père Aka, indiquant que Fratelli tutti nous invite à des relations fraternelles en repensant et en retrouvant et en reconstruisant le nous» social». Du nous et non du moi» Face aux nombreux problèmes d’ordre social et politique qui surgissent en l’Afrique de l’Ouest, les évêques de la Cerao-Recowa entendent insister sur la culture de la fraternité sociale, du nous et non du moi» souligne le secrétaire général de la Cerao-Recowa. Mettant en relief l’importance de la fraternité pour l’Africain, et en tant que gardien de leur frères et sœurs dans la foi, les évêques ouest africains veulent appeler tous les peuples de la sous-région à se considérer comme gardiens les uns des autres à travers des actions concrètes de paix, d’unité et de justice, de dialogue et de vivre ensemble, explique encore le père Aka. Bonne gouvernance, justice sociale, sécurité À Abuja, renseigne-t-il, les évêques de l’Afrique de l’Ouest aborderont également des questions liées à la gouvernance pastorale, la bonne gouvernance, la sécurité, l’accaparement de terres, à travers des conférences. Ces conférences seront suivies d’ateliers de réflexion pour déterminer des résolutions et recommandations qui orienteront la pastorale de la Cerao- Recowa les trois prochaines années. Après les travaux en atelier, les prélats feront le point des actions menées par le conseil permanent qui est leur organe de décision. Il s’agira pour eux, en outre, d’écouter différents rapports d’activité des commissions épiscopales du Secrétariat général, des institutions au sein de la Cerao-Recowa et du bilan financier du comité finance. Par la suite, ils échangeront avec les prêtres, les religieux, religieuses et les fidèles laïcs pour recueillir leurs suggestions en vue de tracer les sillons des trois années à venir. La fin des travaux de cette session sera marquée par les élections des présidents des membres des commissions. La messe de clôture de cette 4ème assemblée plénière aura lieu le dimanche 8 mai à la place Papal d’Abuja. Cerao-Recowa La Conférence épiscopale réunies de l’Afrique de l’Ouest, ou Regional episcopal conference of West Africa en anglais, en acronyme Cerao-Recowa, est une conférence épiscopale régionale qui rassemble les membres des Conférences épiscopales de 16 pays d’Afrique de l’Ouest, francophones, anglophones et lusophones. La mission de cette institution est d’inspirer et de renforcer l’Église famille de Dieu en Afrique de l’Ouest pour un témoignage crédible à travers la promotion de l’unité et de la solidarité, de la justice et de paix parmi les peuples de l’Afrique de l’Ouest, sur la base de l’enseignement de l’Église. L’actuel président de la Cerao-Recowa est Mgr Ignatus Kaigama, archevêque d’Abuja. Suivre l'entretien avec le père Joseph Aka, secrétaire général de la Cerao-Recowa
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