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Peintrestous les trois et voisins d’atelier, nous souhaitons vous inviter à participer à ce regard pluriel constitué d’histoires composées, recomposées, imaginées; de lieux tierces, inventés, réels; de compositions narratives, de formes imparfaites et de couleurs vivifiantes. Nous nous réjouissons d’ores et déjà de partager ce moment avec vous. Vernissage samedi 7
Àl’aube de la Grande Guerre, le cubisme est présent dans les Salons parisiens au travers des envois d’Albert Gleizes, Jean Metzinger, André Lhote et Roger de La Fresnaye. Ces quatre peintres furent souvent considérés comme les cubistes dits français, par opposition aux cubistes espagnols. Depuis 1912, leur présence aux Salons d’Automne et des Artistes indépendants a
Prèsd'une cinquantaine d'artistes, invités de l'école du Val-de-Marne, s'installent au Silo U1 de Château-Thierry pour le Salon d'automne des peintres.
Lautomne. Véritable manifeste du néo-primitivisme de Larionov, cette peinture, qui a figuré dans l'exposition des peintres de « La Cible » à Moscou en 1913, fait partie d'un cycle dédié aux quatre saisons. Dans chacune de ces compositions de tonalités différentes, Mikhael Larionov adopte une même partition de la surface picturale.
Noëlsous le regard des peintresDes fresques de catacombes à la peinture contemporaine, des chefs-d'oeuvre sur le thème de la . Le confinement ne nous arrêtera pas ! Sur Label Emmaüs, la solidarité continue !
Recherche Un Site De Rencontre Totalement Gratuit. "Ma joie vient de la manière dont je regarde le monde", confie à l'AFP l'artiste britannique David Hockney, 84 ans, l'un des peintres vivants les plus cotés au monde, qui expose sa dernière oeuvre à Paris, une ode à la vie et aux quatre saisons en Normandie."Commencez par la gauche", conseille le célèbre octogénaire, à l'éternelle casquette et au regard pétillant de malice derrière ses lunettes rondes à monture jaune. Il vient de découvrir dans son intégralité le résultat de son travail, "A year in Normandie" Normandie en français dans le titre, exposé à la grande galerie du musée de l'Orangerie du 13 octobre au 14 février 2022, à deux pas des Nymphéas de Claude Monet, qui lui est cher. L'hiver, le printemps, l'été et l'automne normands, transfigurés par couches successives de dessins "peints" sur i-pad et imprimés par le pionnier du pop art, illuminent le lieu, tout au long d'une frise de 91 mètres de long sur un mètre de explosion de couleurs vives et une expérience quasi-sensorielle où l'on perçoit l'odeur des fleurs de pommiers et de cerisiers, des verts pâturages après la pluie, la rosée du matin et la noblesse de la campagne enneigée, loin de la grisaille intérieure des confinements successifs décrétés en raison du Covid, pendant lesquels il explique l'avoir peinte. "La nature est source de tout ! Ma joie ? Elle vient de la façon dont je regarde le monde. Il est magnifique mais il faut savoir regarder avec attention et avec les idées claires. Et pour cela, il faut se débarrasser de tout ce qui nous empêche de regarder", ajoute M. Hockney, vêtu d'un costume sur mesure aux délicates nuances de vert, d'orange et de violet, sur chemise blanche et cravate rouge. David Hockney pose au musée de l'Orangerie à Paris le 7 octobre 2021 Thomas COEX AFP - Quitter Londres -Il explique avoir choisi la Normandie où il a élu domicile en 2019, "juste après avoir terminé un vitrail pour la reine Elisabeth II à l'abbaye de Westminster" pour "quitter Londres" et sa frénésie, trois ans après le référendum sur le se réjouit "lorsque le confinement est arrivé en mars 2020, ça ne m'a pas gêné du tout. On était juste trois, dans un endroit isolé, et j'ai pu travailler tous les jours, dans la tranquillité pendant presque un an. C'était bon, je pouvais décider en allant me coucher de ce que je ferai le lendemain", cela, il envisage de peindre une nouvelle fois "l'arrivée du printemps", comme il l'a déjà fait dans sa région natale, le Yorkshire, en 2011. "En Normandie il y a plus de fleurs d'arbres fruitiers...J'ai fait 220 tableaux, tous sur i-pad et ça m'a fait un bien fou !", dit-il. David Hockney pose au musée de l'Orangerie à Paris le 7 octobre 2021 Thomas COEX AFP Une production intense, nourrie "d'idées" devant "un merveilleux coucher de soleil sur la Seine ayant la clarté de Van Gogh" ou "la tapisserie de Bayeux", relatant la conquête de Guillaume le conquérant, qui "porte en elle un temps long de création". A "Amsterdam aussi pour l'exposition +Les Joies de la Nature+" montrant l’influence de Vincent Van Gogh sur David Hockney."Le printemps finissait, alors j'ai décidé de reporter à 2020. Quand le confinement est arrivé, ils ont annulé les Jeux Olympiques mais on ne peut pas annuler le printemps, il continue sa vie sans nous ! C'est le renouveau par excellence, l'une des plus belles choses en Europe du Nord. Celui de 2020 a été merveilleux et j'espère que beaucoup de gens ont quand même pu l'observer".- Capturer l'instant -Dans sa monumentale frise, le printemps est évoqué au "plus près des fleurs d'arbres fruitiers et de leurs feuilles, à leur naissance, puis en prenant du recul à l'arrivée de l'été avec les arbres en entier", explique M. Hockney. "Ensuite arrive l'automne et la chute des feuilles, puis enfin l'hiver, avec un peu de neige". Il "l'attendait". Elle est arrivée en janvier jour là , dit-il, "la lumière n'est pas apparue avant 8H30; vers 9H15 je me suis dit que j'allais rester au lit mais soudain il s'est mis à neiger et je crois que j'ai capturé cet instant. Ça a duré 35 minutes environ avec de la neige sur les branches; l'après-midi tout avait fondu".Sa technique numérique "offre une vue à 360 degrés autour de sa maison", commente Cécile Debray, directrice de l'Orangerie. "C'est un moment privilégié de concentration sur la création avec une touche numérique très abstraite, pixelisée, qui amplifie le caractère réaliste de l'image. A 84 ans c'est sans doute l'un des peintres les plus innovants. Il résout ce que Monet cherchait désespérément la saisie instantanée d'un motif". © 2021 AFP
Le courant expressionniste ne s’inscrit pas dans un cadre pictural strict, mais plutôt dans l’esprit d’une époque début du XXe siècle. Il se caractérise par la volonté des artistes de créer un choc visuel par la violence, l’insolite ou la surprise, par le goût des couleurs vives et arbitraires, traduisant le regard qu’ils portent sur le monde de cette époque. Il existe bien en France un expressionnisme ou un courant dit fauvisme et des peintres comme H. Matisse, M. de Vlaminck, A. Derain, entre autres. Le nom de fauves leur fut donné par dénigrement en raison de l’expressivité de leurs couleurs, leur outrance, leur exubérance chromatique. Ces peintres feront d’ailleurs scandale au Salon d’Automne de 1905. Je suis particulièrement heureux de présenter, dans cette section Expressionnisme de la session 2020 du Salon d’Automne, une sélection d’artistes de talent, anciens et nouveaux. Certains s’inscrivent résolument dans la lignée des précurseurs du mouvement expressionniste, d’autres par affiliation ou par expression libre forment ensemble une équipe unie, enthousiaste, garante du bel épanouissement de notre salon historique.
ATELIERS ENFANTS Vacances de la Toussaint MERCREDI 27 OCTOBRE DE 14H30 A 17H 5-7 ANS JEUDI 28 OCTOBRE DE 14H30 A 17H 8-12 ANS Sais-tu que l’automne est une saison particulièrement aimée des peintres de toutes les époques ? La couleur des arbres qui change, la lumière du ciel encore douce, les ombres qui apparaissent…tout est source d’inspiration pour les artistes. Pour célébrer l’automne, le Passage Sainte-Croix propose aux artistes en herbe un voyage au cœur des plus belles peintures inspirées par cette saison. Ils réalisent ensuite un paysage d’automne à la manière des plus grands artistes ! Gustav Klimt, Forêt de bouleaux en automne Birkenwald I, 1903, Paul G. Allen Family Collection, The Yorck Project, domaine public Infos pratiques Tarif unique 9€ / Goûter inclus ! Réservation obligatoire au 02 51 83 23 75 ou sur Merci de venir avec son tablier 15 mn avant le début des ateliers. Pour préparer votre visite, consultez les consignes sanitaires du Passage Sainte-Croix sur notre site internet. Le Passage Sainte-Croix se réserve le droit de modifier ou d’annuler cet événement en fonction de l’évolution de la situation sanitaire.
Photo fournie par le studio Sébert Photographe Ce n'est que depuis quelques années qu'on s'intéresse de nouveau au peintre espagnol Joaquin Sorolla et qu'on apprécie sa lumière de plein air comme dans son Soleil du matin. Il y a bien des raisons d'aller faire un tour à Québec cet automne. L'une d'entre elles est l'exposition Du Greco à Dali, présentée au Musée national des beaux-arts du Québec jusqu'au 9 janvier. C'est un regard sur la peinture espagnole qui propose de belles découvertes. Constituée à partir de la collection de l'homme d'affaires mexicain d'origine espagnole Perez Simon, l'exposition rassemble 72 oeuvres qui constituent un survol de la peinture espagnole, allant de peintres peu connus en Amérique du Nord jusqu'aux maîtres célébrés dans le monde entier. Sans bouder mon plaisir de voir quelques oeuvres de Picasso, Dali et Miro, c'est le peintre Joaquin Sorolla qui a retenu mon attention. À lui seul, il vaut le déplacement. L'exposition compte plusieurs oeuvres de Sorolla 1863-1923 qui fut l'un des artistes les plus célèbres de son temps. Mais comme sa peinture ne pouvait être classée dans aucune catégorie ni impressionniste, ni expressionniste, ni symboliste, elle a ensuite été oubliée pendant plusieurs décennies. Ce n'est que depuis quelques années qu'on s'y intéresse de nouveau et qu'on apprécie sa lumière de plein air. Une lumière chaude et très douce, qui capture l'émotion. Entre autres, les portraits La Marcelina et Tête de vieux pêcheur dévoilent l'humanité des personnages avec une éloquence rare. Et devant Soleil du matin, on prend une bouffée d'air frais en plus d'être réchauffé par les rayons du soleil. Joaquin Sorolla est assurément un peintre à découvrir. J'ai aussi été touchée par les peintures de son contemporain Laureano Barrau Bunol 1863-1950. Dans Après le bain, on peut sentir le vent du large qui arrive jusqu'à la plage. Et il y a aussi cette chaude lumière qui balaie le paysage. Bref, c'est une exposition à voir. Avant de quitter le musée, il faut absolument visiter la salle Riopelle pour voir ou revoir le chef-d'oeuvre L'hommage à Rosa Luxembourg. Et si on a quelques minutes de plus, on jette un coup d'oeil dans la salle située en face, où on a un bel aperçu de la peinture québécoise du XXe siècle. Architecture Les amateurs d'architecture seront comblés avec l'exposition des maquettes des finalistes du concours international lancé pour le nouveau pavillon du Musée national des beaux-arts. Le nouvel édifice, conçu par la firme OMA de Rotterdam, sera ultra-moderne avec une façade en verre et un design unique. Québec a beaucoup à offrir en matière d'art et de culture. Le Vieux-Québec est parsemé de belles galeries qui constituent une vitrine exceptionnelle de l'art québécois contemporain. On y trouve aussi bien des peintures et des sculptures que des pièces de verre. Et pendant qu'on est dans le Vieux-Québec, autant faire un arrêt au Musée de la civilisation, qui propose quantité de belles découvertes. Jusqu'au 13 mars, la passionnante exposition musicale Riff explique en musique comment les sonorités d'Afrique influencent la musique populaire des Amériques. J'ai aussi adoré Nourrir son monde jusqu'au 14 août 2011, qui nous renseigne sur les habitudes alimentaires de 25 familles d'autant de pays. Chaque famille est photographiée devant la nourriture qu'elle consomme pendant une semaine. Fascinant! Plusieurs autres expositions permanentes - Le temps des Québécois, Nous, les Premières nations, Territoires et Tour de Terre - sont tout aussi intéressantes. C'est un musée pour toute la famille avec une foule d'expériences interactives qui captivent les enfants. Il faut les voir s'émerveiller devant la formation d'une tornade ou ressentir leurs craintes dans la cabine qui simule un tremblement de terre. Le musée est si riche qu'on ne peut tout voir en une seule visite. Il faudra y retourner au printemps.
Exposition temporaire Alfred-Auguste Janniot 1889-1969, génie de l'Art Déco Exposition, Patrimoine - Culture, Peinture, SculptureSaint-Quentin 02100Du 01/04/2022 au 18/09/2022Découvrez cette magnifique exposition temporaire au Musée des Beaux-Arts Antoine Lécuyer, du 1er avril au 18 septembre 2022. Après l’Art Nouveau qui a vu émerger de grandes figures individualistes comme le belge Victor Horta ou le français Hector Guimard, l’Art déco va promouvoir et consacrer le travail à plusieurs mains. La nouvelle architecture, clef de voûte de tous les Arts », appelle alors à l’union de tous les artistes sculpteurs, peintres, mosaïstes, ferronniers, vitraillistes et grands décorateurs. Parmi les sculpteurs de cette période si féconde pour l’Art français, le Musée des Beaux-Arts Antoine Lécuyer a décidé de mettre en lumière la figure d’Alfred-Auguste Janniot. Ce dernier est l’un des représentants majeurs de l’Art déco au même titre que l’architecte-décorateur Jacques- Émile Ruhlmann ou le peintre Jean Dupas. De Paris à New-York, il a multiplié les chefs d’œuvres pour les nombreux architectes qui le sollicitaient avec insistance Wallace Harrison Rockefeller Center de New-York, Michel Roux-Spitz, Pierre Patout paquebots Ile de France et Normandie, Albert Laprade Musée des Colonies, Jean Niermans, Aubert, Dastugue, Viard et Dondel Palais[...]
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